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Journée internationale de la fille: Plan International Kaolack met le focus sur les mariages précoces et les réseaux sociaux
A l’instar de tous les pays du monde, le Sénégal a célébré ce dimanche la journée internationale de la fille. Parmi les structures qui se sont particulièrement illustrées à cette occasion le bureau de Kaolack de Plan International a organisé un panel dont le thème « mariage précoce et réseaux sociaux » a été apprécié à sa juste valeur par les panelistes qui n’ont pas manqué, d’ailleurs, de saluer cette belle initiative de Plan International.
Cette journée a été l’occasion pour Plan Kaolack de revisiter et d’insister sur les excellents résultats obtenus dans le cadre du travail de sensibilisation et de conscientisation sur les abus et violences faits aux filles.
Pour le coordonnateur du bureau Plan International à Kaolack, monsieur Pape Sidy Diop, cette journée est une opportunité de combattre toute sorte de violences faites aux filles surtout celles du monde rural. Pour Monsieur Diop Plan International met surtout l’accent sur la mobilisation sociale en conscientisant la communauté et les décideurs appelés à davantage s’engager dans la protection des filles.
Le mariage précoce des jeunes filles et les réseaux sociaux constituent en a pas douter une préoccupation principale pour Plan International qui a mis le focus sur les impacts causés pas ces phénomènes. Autant de goulots d’étranglement qui freinent le développement de la fille.
L’impacte des actions que mènent Plan International dans l’arrondissement de Wack Ngouna principalement est bien visible à travers le témoignage des populations de cette zone. Pour l’illustrer le maire de Keur Madiabel, monsieur Aliou Kébé a rendu un vibrant hommage au burau de Kaolack de Plan International qui œuvre inlassablement pour la promotion des populations toutes composantes confondues. Des actions qui selon le maire participent à la promotion individuelle et collective des populations de Wack Ngouna avec un accent particulier mis sur le développement de la vie.
» A Keur Madiabél que je maîtrise très bien, les mariages précoces sont presque inexistant parce que les filles sont maintenues dans les écoles et ceci c’est grâce à Plan International », a enfin soutenu monsieur Alioune Kebe.